En 2024, le régime iranien a exécuté au moins 31 femmes, portant à plus de 220 le nombre de victimes féminines de la répression depuis 2010. Ces chiffres alarmants traduisent la violence exercée par ce pouvoir autocratique iranien. Les organisations de défense des droits humains expriment leur vive inquiétude face à l’augmentation des exécutions, soupçonnant les autorités d’en faire un instrument de terreur destiné à soumettre la société.
On ne saurait trop insister sur le fait que l’islamisme constitue une menace grandissante, y compris en Europe, et qu’il est urgent d’agir pour contrer cette gangrène avant qu’elle ne s’enracine davantage. Et ce, au moment même où les gouvernements français et allemand envoient les plus hauts représentants de ces deux pays en Syrie pour rencontrer les nouveaux dirigeants islamistes qui tentent de cacher leurs innombrables crimes. Il faut d’ailleurs noter que le nouveau gouvernement syrien, que les plus hautes autorités européennes saluent, présente un ministre de la Justice qui était le bourreau en chef d’En Nosra en charge de l’exécution des femmes